L’héritage de Paris 2024 se concrétise

Le projet d’héritage des Jeux olympiques de Paris 2024 a franchi une étape importante vendredi 22 mars avec l’annonce par la Solideo (Société de livraison des ouvrages olympiques, chargée de financer, superviser et livrer les ouvrages et opérations d’aménagement nécessaires aux Jeux de Paris 2024) d’une première liste de treize équipements sportifs qui seront construits ou entièrement rénovés. Au total, un budget de 70 millions d’euros sera consacré à la construction et la rénovation de ces équipements sportifs en Île-de-France dans le cadre de l’héritage de Paris 2024. Ces équipements comprennent des piscines, des gymnases et des complexes sportifs identifiés comme sites d’entraînement dans la liste de candidature. La construction d’une piscine à Colombes (Hauts-de-Seine) y sera ajoutée prochainement. La liste définitive des sites d’entraînement des Jeux de Paris 2024 sera par ailleurs officiellement validée en 2021 par les fédérations sportives internationales concernées. Pour l’ensemble des ouvrages olympiques, l’année 2019 sera placée sous le signe du choix des opérateurs privés et de la maîtrise du foncier pour les différentes opérations d’aménagement. 25/03/19 – Jean-Damien LESAY – Localtis info – Lire la suite

JO 2024 : quatre équipements sportifs à Paris rénovés grâce aux Jeux

Une enveloppe de 11,7 millions d’euros ira à quatre sites sportifs dans des quartiers populaires de Paris où s’entraîneront les athlètes pendant la compétition.

« C’est un héritage concret des JO pour la population », se réjouit Jean-François Martins, maire-adjoint chargé des sports à la ville de Paris. La société de livraison des ouvrages olympiques (Solideo) va valider ce vendredi après-midi le financement, à hauteur de 11, 7 millions d’euros (M€), de la rénovation de quatre sites d’entraînement d’ici 2024. Identifiés par la ville, qui souhaitait « un héritage dans les quartiers populaires » et par le comité d’organisation (Cojo) – puisque durant la période des Jeux, ils seront à la disposition des athlètes – les quatre équipements sportifs se situent dans le XVIIe arrondissement (centre sportif Max Rousié), le XVIIIe (les Poissonniers et Bertrand Dauvin) et dans le XXe (piscine Georges Vallerey, qui fut construite pour les Jeux de 1924 et qui sera donc rénovée grâce à ceux de 2024).
Outre ces quatre sites dits « d’entraînement » (à différencier des centres de préparation olympique), Paris verra la construction de l’Arena 2, Porte de La Chapelle, qui accueillera durant les JO les tournois de badminton et servira, notamment, ensuite en tant que salle de basket. L’appel à projet vient d’être lancé, le jury désignera à la fin de l’année le groupement (architecte, constructeur, entretien technique) qui sera chargé de livrer la nouvelle salle début 2023.
22/03/19 – Leparisien.fr – Lire la suite

Le CNDS baisse le rideau en allouant 160 millions d’euros d’aides au sport

Le tout dernier conseil d’administration du Centre national pour le développement du sport s’est tenu le 19 février. 160 millions d’euros ont été engagés pour l’emploi sportif, les équipements (en priorité sur les territoires carencés et ruraux) et le soutien aux clubs. Une page de l’histoire – somme toute relativement récente – de l’intervention de l’État dans les politiques sportives publiques s’est tournée mardi 19 février avec la tenue du dernier conseil d’administration du Centre national pour le développement du sport (CNDS). Créé en 2006, cet établissement public administratif était placé sous la tutelle du ministère des Sports et du ministère des Finances. Et si le mouvement sportif et les collectivités territoriales siégeaient à son conseil d’administration, le CNDS n’en a pas moins été durant toute son existence le bras financier de l’État, via des taxes sur les mises de la FDJ (Française des jeux) principalement, pour soutenir le développement de la pratique sportive pour tous (aides aux associations), contribuer à l’aménagement sportif du territoire (subventions aux équipements) et soutenir les grands événements sportifs internationaux en France. Il sera remplacé dès le 2 avril par l’Agence nationale du sport (ANS) dont les modalités de fonctionnement – marquées notamment par une parité de voix entre État, mouvement sportif et collectivités territoriales en matière de développement des pratiques – dessinent une nouvelle gouvernance du sport.[…] […] Le programme en faveur des équipements s’élève quant à lui à 32 millions d’euros. Cette somme permettra d’accompagner la rénovation et la construction d’équipements sportifs, en priorité sur les territoires carencés et ruraux. Ce budget prévoit notamment une ligne spécifique de 7 millions d’euros pour les équipements sportifs ultramarins et corses ainsi qu’une enveloppe de 2 millions d’euros pour la mise en accessibilité des équipements sportifs au bénéfice des personnes en situation de handicap.[…] 20/02/19 – localtisinfo- Jean Damien LESAY – Lire la suite